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14 avril 2017 5 14 /04 /avril /2017 15:53
Le Bonheur...

« Tout bonheur est une innocence » de Marguerite Yourcenar

Qu’est-ce que le bonheur ?

Un ciel bleu, un soleil caressant, une nature exubérante…

Mais aussi un regard, un mot doux, un sourire, une parole réconfortante …

Tout cela je l’ai vécu aujourd’hui… en toute innocence.

Premières dédicaces de l’année… Premiers Bonheurs… Premiers émois…

Demain sera un autre jour. Il y aura d’autres bonheurs, d’autres regards, d’autres sourires et d’autres paroles réconfortantes. Enfin je l’espère !

Pour cela je vous remercie de venir me rejoindre à Cultura de Puget-sur-Argens samedi 15 Avril de 10h à 18h, je vous présenterai le Tome 2 « Gracieuse et Panache à la fête de l’école ». Jolie surprise à glisser avec les œufs de Pâques…

 

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29 mars 2017 3 29 /03 /mars /2017 10:18

« Dans l’onde toi devenu(e) – Ta jubilation nue ». de Mallarmé.

« Éloge de l’amour » de Alain Badioux

Le titre est attractif. Ah l’amour… Alors en faire l’éloge ! Je fonce !

Un regard sur la quatrième de couverture : « La conviction est aujourd’hui largement répandue que chacun ne suit que son intérêt. Alors l’amour est une contre épreuve. L’amour est cette confiance faite au hasard ».

Mais allons plus loin et plaçons le décor. Conversation entre un journaliste Nicolas Truong qui pose des questions sur « qu’est-ce l’amour… » au philosophe Alain Badiou.

Alain Badiou démarre fort en décortiquant les slogans de Meetic le site de rencontres. L’amour sécurité « ayez l’amour sans le hasard », l’amour sans chute « on peut être amoureux sans tomber amoureux », l’amour coaching « coatching amoureux »… qui finalement, pour lui, ressemblent fort à ce qu’étaient et sont encore les mariages arrangés par les familles. Il y revient régulièrement, Meeting l’agace visiblement dans son approche de l’amour et ses slogans trompeurs. Pour ma part Meeting comme « l’amour est dans le pré », comme les réseaux sociaux, est la résultante de notre société moderne sur fond de solitude.

Au début j’étais déstabilisée, hermétique aux affirmations un peu alambiquées de Alain Badiou. Peut-être est-ce dû aux questions du journaliste, après tout ! Je ne voyais pas où ils allaient me mener mais pas au point de me décourager. Il faut toujours aller au fond du problème, car l’Amour en est un, (il est tout aussi compliqué de vivre sans qu’avec), pour en découvrir les tenants et les aboutissants.

Puis peu à peu je m’enfonce dans une forêt dense qu’est cette joute entre le journaliste qui cherche à pousser le philosophe dans ses retranchements au point de lui faire avouer ses propres exigences et expériences. Puis on entre de plein pied en religion, le christianisme « une religion de l’amour « et sa contradiction « Un amour agenouillé n’est pas pour moi un amour, même si parfois nous avons dans l’amour la passion de nous livrer à celle ou celui que nous aimons ». Puis un parallèle est fait entre la politique et l’amour « le problème politique est celui du contrôle de la haine et non celui de l’amour », le communisme et l’amour, l’amour au théâtre… Puis vient de plein droit « la fidélité » « l’amour toujours » « dans l’éternité ».

À ce stade de ma lecture, j’ai fait une pause. On connaît le slogan (terre à terre) « la cuisine qui retient les maris qui se débinent ». Mais tout en m’activant aux fourneaux, ma plaque électrique pour être plus précise, je repensais à tout ce que j’avais lu. Et j’avoue que je ne m’y retrouvais pas. C’est un peu le piège que nous tendent les philosophes, nous imposer des questionnements qui ne correspondront pas forcément à leurs réponses. Le maître et l’élève.

À la reprise de ma lecture, là je n’ai plus lâché. Ça commençait à me passionner. Enfin parler simple pour dire vrai et partager ce qu’enfin aimer représente et veut dire. 

« Il y a un travail de l’amour et non pas seulement un miracle. Il faut être sur la brèche, il faut prendre garde, il faut se réunir avec soi-même et avec l’autre. Il faut penser, agir, transformer. Et alors oui, comme la récompense immanente du labeur, il y a le bonheur ». J’ai beaucoup apprécié le passage « …entre l’intensité que la vie acquiert… sous le signe de l’Idée… ma vie a trouvé l’accord musical qui en assurait l’harmonie. » (page 64 et 65). Et pour clôturer : « quel prix a payé l’amour pour l’apparent triomphe de sa liberté » ?

J’avais truffé l’opus de post-it et je n’en ai relevé que quelques uns… sinon j’aurais dû réécrire « Éloge de l’amour » de Alain Badiou qui foisonne de vérités et de contre-vérités. À chacun d’y faire son marché !

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26 mars 2017 7 26 /03 /mars /2017 12:35
Petit conte pour enfant 6/8 ans, 62 pages -

Petit conte pour enfant 6/8 ans, 62 pages -

« On voit à la démarche de chacun, s’il a trouvé sa route. L’homme qui s’approche de son but ne marche plus, il danse » de Friedrich Nietzsche (Merci Alain Tremiseau)

Ma démarche a été plus que titubante, parsemée d’embûches, de souffrance et de doutes. Six mois déjà. Six mois à rattraper, non le temps ne se rattrape pas, il se vit bon gré, mal gré.

Puis s’infiltre la petite lumière au bout du chemin, celle qui ne nous éclaire pas encore tout à fait mais qui nous oblige à redresser la tête et à aller à sa rencontre. Le courage reprend, les gestes redeviennent presque automatiques, tout du moins on s’en persuade pour avancer, toujours avancer vers cette promesse de la tâche à terminer.

D’un pas de deux, d’un pouce hésitant (dommage collatéral) j’ai repris mes pinceaux, ma plume et me voici libérée de « Gracieuse et Panache à la fête de l’école ».

Tout dans ce petit conte pour enfants de 6 à 8 ans est l’illustration de cette citation de Nietzsche. Puisse-t-il faire le bonheur de nos chers petits que je vais très bientôt retrouver en dédicace.

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12 mars 2017 7 12 /03 /mars /2017 13:57

« Bien mal acquis ne profite jamais »

J'apprends ce jour que ma trilogie provençale "Gustave", "Lettre à pépé Charles" et "Charles et Aurélien" est mise en ligne, à mon insu, gratuitement sur un site étranger. C'est une tendre romance familiale, elle ne mérite pas d'être VOLÉE mais SE MÉRITE. Je suis partagée entre un sentiment de révolte pour ce détournement, mes heures et mes heures de travail, de peinture et d'écriture, récupéré au simple effort d'un clic et un sentiment de fierté. Si ma trilogie n'avait pas été de si belle qualité, l'aurait-on usurpée ? Il parait que ces bandits des temps modernes le font pour gagner de l'argent en plaçant des publicités sur leur site, chaque clic leur rapporte « sonnant et trébuchant ». Donc mes livres doivent bien plaire pour que cet acte méprisant soit "payant", non ? Ah l'ego des auteurs !!!

Nonobstant, comme on peut rien faire contre ces voyous, trop compliqué, nous dit-on, je présente toutes mes excuses à mes lecteurs qui ont payé pour me lire et aux futurs lecteurs qui voudront payer pour me découvrir.

Ma trilogie provençale volée !
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11 mars 2017 6 11 /03 /mars /2017 09:48
Le regard de l'Amitié

« Qui sait tout souffrir peut tout oser » de Vauvenargues

Voilà plusieurs mois qu’avec mon amie Claire nous ne sommes plus allées au cinéma.

Elle a attendu patiemment que je termine ma rééducation en hôpital de jour pour me solliciter quotidiennement. Elle voulait que je reprenne une vie normale et moi j’avais peur de la salle plongée dans le noir où je devrais rester deux heures assise. J’avais la hantise que mon bras ne se mette à faire des caprices et comment aurais-je pu y remédier sans faire de bruit et sans gêner personne et encore moins ma douce amie Claire ?

Finalement elle se fit persuasive et rendez-vous fut pris, nous irons voir le film « Patients » l’histoire vraie de Grand Corps Malade, le rappeur, auteur et aujourd'hui réalisateur. Elle savait que j’en avais envie mais elle, allait-elle l’apprécier ?

Juste avant de sortir j’ai précipitamment glané quelques rares fleurs de mon jardin d’hiver mais si odoriférantes  et pour la remercier de tant de gentillesse et d’amitié, je les lui ai offertes.

Juste avant de franchir les portes coulissantes du cinéma elle m’a regardée et m’a dit « j’aurais dû apporter du champagne » tant elle était heureuse de nous voir enfin là toutes les deux ; et moi donc !

Comme je m’en doutais, elle n’a pas aimé « Patients » un tableau trop caricatural de la jeunesse cabossée des banlieues. Et quand on écoute les informations et qu’on voit toute cette jeunesse vouée à elle-même, prête à faire toutes les bêtises possibles, on n’a pas trop envie de revoir cela sur les écrans de cinéma. Moi j’ai aimé parce que je suis concernée par l’Accident, celui qui fait basculer en quelques secondes une vie bienheureuse et qu’il faut des mois et des mois pour se redresser. C’est un film d’espoir pour tous les accidentés de la vie. On peut y arriver, juste qu’il faut de la patience, du courage, de l’humilité et j’en sais quelque chose. Ne jamais baisser les bras (paradoxe puisque le mien rechigne à monter) et surtout s’entourer de belles personnes pour voir la vie en couleurs.

Ce matin mon amie Claire m’a envoyé la photo du bouquet de fleurs harmonieusement assemblées dans un pot et son adorable mari a passé un temps fou pour mémoriser ce lien d’amitié. Je le partage avec vous.

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26 février 2017 7 26 /02 /février /2017 09:45
L'Amitié en images
L'Amitié en images

L'Amitié en images

Ce matin, en ce beau dimanche ensoleillé, j’ai envie de partager avec vous une page de bonheur. Celle de ma liberté retrouvée, pas de ma guérison hélas, une nouvelle page s’ouvrira pour cela.

Vendredi, une page de ma vie s’est tournée en apothéose ! Une ambiance inimaginable dans un tel lieu ! Dans cet hôpital de jour, les va et vient sont constants. On sympathise puis avec émotion on se souhaite bonne chance et la porte coulissante de l’Accueil, à chaque fois, se referme sur une parenthèse amicale.

Ce vendredi, Il y avait beaucoup de départs, dont le mien, et à tous les étages c’était la fête. Sans s’être concertés, (pour être tout à fait honnête je leur avais promis un gâteau confectionné avec mes deux mains et le moment était venu) nous avions apportés des gâteaux (photo du mien), des chocolats et des friandises, des viennoiseries et un patient a apporté des bouquets de fleurs pour les femmes (photo) ! J’avais le bras en feu mais le cœur en allégresse. Quel élan de générosité et de joie de vivre alors que la souffrance et le handicap sont omniprésents !

Par moments, en me tordant le cou,  je me surprenais à regarder toute cette agitation à en oublier que j’étais couchée sur le ventre à me faire triturer mes cervicales, mon bras et sa cicatrice. La souffrance devenait imperceptible grâce aux éclats de rire, que de confidences échangées… sans pour autant interrompre nos exercices qui sont tout sauf une sinécure.

Pour finir, les embrassades, les échanges de numéro de tél. au moment du départ.

Belle leçon d’humilité, de sagesse et de courage.

Je ne vous oublierai jamais, vous m’avez tant apporté !

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19 février 2017 7 19 /02 /février /2017 20:17
Sa liberté

« Ça ne s’apprend jamais trop tôt, la liberté » de Hervé Bazin

Après de vilains jours, le cœur en bravade

Sourire aux lèvres en sa jolie promenade

La mer frissonnante sous les caresses

D’un ciel bleu et d’un soleil en ivresse,

 

Elle avance d’un pas buissonnier

Longeant les restaurants, les cafés.

Elle avait oublié sa ville et ses murmures,

Sa plage, ses oiseaux aux fières allures

 

Son esprit vagabonde, libéré,

son cœur d’émotion s’estourbit

Ses yeux par le bonheur avéré

Retiennent l’eau au bord des cils

 

Un vent léger sur son passage

L’enveloppe d’une douce mélodie

Un air de violon lui revient ici

Comme le plus subtil des messages

 

Vivre au présent, fuir le passé

Ressortir sa palette de couleurs

Pour jeter dans l’oubli sa peur

Et d’un pas de deux, se libérer.

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14 février 2017 2 14 /02 /février /2017 17:22
L'AMOUR !

“Le plus beau vêtement qui puisse habiller une femme, ce sont les bras de l'homme qu'elle aime” de Yves Saint Laurent

L’Amour, ah l’Amour !

C’est mon moteur. Il me fait sortir de ma réserve.

Tout le monde en parle en ce jour de la Saint Valentin, tout le monde en rêve, tout le monde veut y croire, tout le monde…

Tout le monde, sauf moi ! Pas le temps de batifoler, pas le temps de poser mon regard hors de ces murs où tous les jours je tends mon bras à mon partenaire antidouleur, reconstructeur. Je me prends à me demander pourquoi moi la rebelle, l’électron libre, je m’allonge tous les jours, passivement, sur cette table de torture. Pourquoi je deviens docile et souris à celui qui serre mon bras contre le sien et dans un corps à corps, compte les pas de danse qui ne me promettent même pas la guérison. Il ne me promet rien, il fait de son mieux !

Pas très romantique !

Pourtant, il est jeune, il est beau, il est fort ! Il est doux et dur ! Il m’observe, il force sur mon bras, il veut entendre une plainte pour s’arrêter à temps. Ma fierté reprend le dessus, mon regard se plante dans le sien sans laisser filtrer la moindre émotion. Notre tango désordonné n’apporte aucun répit à mon  bras récalcitrant. En échange, je lui souris sans lui dire que ce sourire n’est pas pour lui. Je ferme les yeux, j’écoute battre mon cœur et laisse mon esprit gambader. Je rouvre les yeux, je souris encore à mon jeune ami. Il m’observe dérouté. Un temps d’arrêt, puis le bal reprend son rythme.

Mes souvenirs de toute une vie affluent, il y a longtemps, longtemps, un feu d’artifice, d’autres épreuves vécues main dans la main avec celui qui m’avait promis de toujours veiller sur moi !

Une pensée traverse mon esprit et vient rompre ce manège « que serais-je devenue s’il n’avait pas été là en ce moment si difficile ? », cinquante deux ans d’amour et toujours ses bras qui m’empêchent de flancher.

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26 décembre 2016 1 26 /12 /décembre /2016 16:19
Cette peinture a été réalisée pour ma petite-fille EMMA

Cette peinture a été réalisée pour ma petite-fille EMMA

Ça y est, le Père Noel est passé samedi pour faire le plein de sa hotte. Bon il faut être réaliste, il n’a pas pris que mes livres, mais il a pris AUSSI mes livres, ET C’EST L’ESSENTIEL !

Dur, dur ! D’ordinaire je suis toujours debout pour la présentation de mes livres et je m’assois pour dédicacer de ma plus belle plume. J’aime lorsqu’on me dit « vous avez une belle écriture ». Là, au moment de la dédicace, j’étais arcboutée pour tenir « difficilement » de ma main gauche le livre ouvert, (il fallait à chaque fois expliquer mon accident) et de mon écriture moins affirmée, je dédicaçais tant bien que mal.

Les échanges, du coup, ont pris un tournant plus intime.

Qui m’a raconté son accident de voiture, qui sa mère malade, qui me félicitait pour mon courage, ce à quoi je répondais « dédicacer le 24 décembre et imaginer mes livres au pied du sapin, ce n’est pas du courage mais de la passion ».

Ce samedi, beaucoup moins de monde que les Noël précédents, mais beaucoup de coups de cœur, de générosité, de sympathie, de touristes venus passer les fêtes à Montauroux.

A chaque séance de dédicace, il y a le moment magique avec un regard de connivence. Il est venu d’un Québécois. Il s’arrête devant moi, commence par me dire « dommage, j’ai encore 3 livres à lire », moi je gaffe en lui disant qu’il a un accent « Suisse » ? Là tout se gâte. Il n’apprécie pas, mais pas du tout ! Je m’excuse tout de suite et j’apprends qu’il est Canadien. Je lui raconte alors un très bon souvenir du Canada. Il m’écoute puis choisit « Un soir d’été en Sardaigne » sans attendre que je lui présente mes livres. Et lorsque je lui demande son prénom pour la dédicace « François ». Le seul prénom inchangé du roman. L’instinct ou le hasard ?

Il a souri, m’a serré la main et m’a souhaité de joyeuses fêtes.

Un petit coucou à Maëlys, cinq ans et demi, repartie avec « Gracieuse et Panache », adorable petite fille qui m’a écrit son prénom pour que je ne fasse pas de faute ! À Clovis qui a choisi « Gracieuse… » et a tout de suite commencé à le lire, à Nina (comme moi) qui va recevoir la trilogie de la part de sa fille en coup de cœur…

Merci à vous toutes et tous, même si je ne vous cite pas, car écrire d’une main rend moins prolixe.

Et pour finir, une pensée pour toutes celles et ceux qui finissent l’année en souffrance (le corps reprendra ses droits) ou en tristesse d’avoir perdu un être cher (nos êtres chers ne nous quittent jamais tout à fait). Vivez vos rêves pour rendre la vie plus douce !

« L’écriture, c’est la plus belle aventure que je connaisse » de Peter Handke

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23 décembre 2016 5 23 /12 /décembre /2016 17:31
Un livre pour Noël

« Un livre pour faire plaisir à glisser au pied du sapin »

Tout d’abord un grand, un énorme MERCI à vous mes ami(e)s qui m’avez soutenue dans ce moment difficile de mon existence. Tous vos messages publics ou privés m’accompagnent vers le chemin de la résilience.  

Trois mois déjà ! J’avais annulé toutes mes dates de dédicace sauf celle du Samedi 24 Décembre, en priant le Ciel de me laisser un peu de répit pour cette date magique de Noël. Montauroux c’est l’Amitié indéfectible d’Alexandra, la Directrice du Magasin qui a maintenu ma date de dédicace. J’en ai été très émue.

Je rassemble mon énergie (ou ce qu’il m’en reste), ma passion pour vous mes lecteurs et mon sourire, pour vous retrouver samedi 24 décembre de 10h à 17h à l’Espace Culturel  du Centre Leclerc de Montauroux, Merci de vous voir nombreux.

« L’écriture, c’est la plus belle aventure que je connaisse » de Peter Handke

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