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20 mai 2016 5 20 /05 /mai /2016 15:58
La fête des mères

« La lecture, une porte ouverte sur un monde enchanté » de François Mauriac

Qu’est-ce qui ne fond pas lorsqu’on le serre dans ses mains, ne se fane pas en quelques jours où qu’elles soient posées, ne s’évente pas au fil du temps qui passe ? Des chocolats, des fleurs, des parfums… autant de cadeaux éphémères… NON ! Un livre ! Dans mon catalogue, vous en trouverez bien un que l’être qui vous est le plus cher au monde gardera comme livre de chevet.

* "retourne de là où tu viens", histoire vécue. Un fragment de vie où douze femmes se retrouvent dans une école d'écrivains pour un concours littéraire. L’enjeu : la gagnante sera éditée à compte d’éditeur… La consécration suprême. Sauf que rien ne se passera comme prévu ou souhaité… Le milieu littéraire n'est pas tendre, l'héroïne s'en sort la tête haute et la passion dévorante. Préfacé de Annie Bruel grande romancière du PACA. 29 collégiens en classe de 3ème à Bertie Albrecht travaille dessus avec pour thème « l’estime de soi ».

* "Gustave", "Lettre à pépé Charles", "Charles et Aurélien", une trilogie provençale prévue initialement pour la jeunesse et qui a séduit toutes les générations. On entendrait presque les cigales m'a-t-on dit... Des dialogues truculents et de l'émotion garantie. Le thème : Un petit garçon Simon veut renouer avec sa famille. Il mettra tout en œuvre pour briser le silence et surtout les secrets familiaux bien trop encombrants à son goût. Le commentaire accompagnant une commande du troisième volet de la trilogie qui m'a le plus touchée :

"ce livre est le troisième que je vous commande pour ma grand-mère, qui jusqu'à la découverte de "Gustave", ne lisait jamais de livre. Vos romans lui apportent beaucoup de joies et de réconfort. Pouvez-vous le dédicacer à Huguette, de la part ses petite et arrière petite fille de Draguignan" ?

* "La clé de l'embrouille" un suspense psychologique traité façon polar. Deux femmes courageuses mènent un combat qui semble perdu d'avance, pour un résultat plus qu'improbable. Cependant rien ne les arrêtera. Un polar où l'Amour, l'Humour et le Suspense se côtoient allègrement.

* Gracieuse et Panache sont amis, fable initiatique sur l’amitié et le bien vivre ensemble. Je l’ai illustrée en couleur et en N/B pour que les enfants joignent leurs couleurs aux miennes. Un petit conte à partager avec maman et papa.

Pour commander un livre dédicacé accompagné d’un marque-pages, le tout envoyé en port franco : http://a5editions.fr paiement sécurisé Paypal ou publication@a5editions.fr paiement par chèque.

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17 mai 2016 2 17 /05 /mai /2016 14:56
Nous aussi on savait !

Le harcèlement. « Conduite abusive qui se manifeste notamment par des comportements, des paroles, des gestes, des actes, des écrits pouvant porter atteinte à la personnalité, à la dignité ou à l’intégrité physique ou psychologique d’un personne ». Définition du mot harcèlement donnée par la psychanalyste Marie-France Hirigoyen.

Chaud devant ! Chaud ! Un sujet d’actualité resté, soit disant, tabou jusqu’à ces jours-ci ; or lorsqu’on a ouvert la boite de Pandore qu’a-t-on trouvé ? Des ministres (des perruches) qui savaient mais qui se sont tues « on ne pouvait pas parler ». Ben voyons !

Aujourd’hui elles s’agitent, pérorent, s’achètent une bonne conduite en créant un manifeste… « plus jamais ça »… Bla bla bla… Que nenni… Une vieille rengaine qu’on nous ressert à un moment donné. Et donc ce serait le bon moment ? Ben il faut croire ! Parce que parler du chômage, du déficit budgétaire, des panama papers et autres… Cela ne fait pas le (bon) jeu de notre Don Juan national. Quel paradoxe ! Mais nous ne sommes pas à un paradoxe près… Belle hypocrisie !

J’irai plus loin : Nous aussi on savait ! Les débats parlementaires télévisés nous ont donné de beaux exemples de sexisme, de machisme. En politique comme en privé tous les coups sont permis, sauf qu’il faut savoir damer le pion à son adversaire ! N’a-t-on pas vu des femmes ministres s’insurger, d’autres en larmes, d’autres recevoir des fleurs en guise d’excuse… Et hop on passe à autre chose. Un sensationnel chasse l’autre.

Qui, un jour ou un autre n’a pas été « persécuté » par un (ou une) chef tatillon ou malveillant ou simplement si peu en confiance avec lui-même qu’il… Qui n’a pas subi la jalousie, la méchanceté, la bêtise humaine ? Qui ? À des degrés divers, soit !

On est là tranquille, on pense n’avoir que des amis, que la vie vaut la peine d’être vécue et on fredonne la ballade des gens heureux. Puis le Hasard vient pactiser avec le Diable et là patatras, tout s’écroule. À qui la faute ? Au Hasard jaloux ou à Satan vicieux ou aux deux ? Et lorsque Madame Boutin persifle que ces femmes harcelées l’ont un peu cherché, là je frôle l’overdose. Vais-je être pire qu’elle et lui répondre que lorsqu’on ressemble à un boudin avec une cervelle de moineau, c’est sûr qu’on ne risque rien ! Tant pis je l’ai dit, mais c’est elle qui a cherché la bagarre ! Sans compter que ses bondieuseries m’insupportent… Ah ! La bonne conscience et la bienséance de bas étage…

Je ne vais pas me faire l’avocat du diable en prenant la défense de ces quelques « pôvres » ministres qui ne voyaient pas à mal, certains se sont excusés pitoyablement ! C’est d’un grand pitoyable, car dans la vie il faut assumer et de nos jours « ni coupable ni responsable » pourvu qu’on garde son poste et ses acquis...

Je me souviens de mes quelques années passées dans un laboratoire pharmaceutique. J’animais les séminaires de vente. Le soir, après une soirée bien arrosée, les langues se déliaient. Les déléguées commerciales obligées de se laisser tripoter par les chirurgiens pour qu’ils daignent passer leur commande, même punition pour les délégués hommes qui subissaient les assauts des « cheffes » de services, nues sous leur blouse. Le harcèlement n’est pas réservé au seul sexe féminin. Je me souviens aussi d’un pari engagé pour qu’un tel finisse le séminaire dans le lit d’une telle. Si ça ne marchait pas comme décidé par la « PéDéGère », une mégère voyeuse, c’était la porte… Et il l’a prise en pleine figure… la porte, la belle ne s’est pas laissée croquer. Ça ne marche pas à tous les coups ! Double vexation, double peine.

Aussi je m’interroge : pourquoi les hommes harcelés ne s'étalent pas sur la place publique ? Par goût du jeu comme au casino ? Auquel cas, sont-ils de bons perdants ? Ou alors, peut-être parce qu’ils l'ont cherché aussi, n’est-ce pas Madame la ministre broute broute… ?

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12 mai 2016 4 12 /05 /mai /2016 08:07
Mon Tigre

Mon Tigre

Dans ce jardin inconnu

Tout petit fut venu

Il ne servait à rien de t’admirer

Pas plus que de te bichonner.

De place en place

Tu ne trouvais ton espace

D’année en année

De t’épanouir tu refusais.

Puis un jour de guerre lasse

D’une dernière chance fus menacé

Dans ce coin de terre, réapprivoisé

Tu pris ton essor, d’un sursaut d’orgueil tenace

Aujourd’hui crinière au vent

Couleurs resplendissantes

Tes palmes règnent allègrement

Sur la nature environnante.

L’amour n’est jamais vain

Prodigué avec passion

Jusqu’à l’ultime déraison

Pour d’heureux lendemains.

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9 mai 2016 1 09 /05 /mai /2016 16:08
Le vagabond... Le marchand de bonheur...

« Voyager est un triple plaisir : l'attente, l'éblouissement et le souvenir.” de Ilka Chase

Une fois n’est pas coutume... Pour une fois, j’ai pris mon temps, je suis arrivée la veille sur mon lieu de dédicaces. Je voulais me « savater » - c’est ainsi que l’on dit dans mon Sud - dans cette ville qui comptait cent mille habitants en 1945 et dont la population a plus que quadruplé de nos jours. Montpellier offre aux visiteurs ses multiples visages. La cité historique se mêle au moderne sans heurt ni faute de goût… L’accueil, les sourires, la verdure, le soleil, étaient au rendez-vous pour une visite mémorable. Les « trompe l’œil » sont saisissants de beauté. Une très belle réussite. On aimerait s’y suspendre, toucher, pour voir si c’est « du vrai ou du faux »…(la preuve par l’image). Le soir, de retour dans notre chambre d’hôtel, nous étions fourbus et heureux. Juste un bémol, il faut au moins une semaine pour apprécier toute la richesse artistique de cette ville. Nous reviendrons…

Le lendemain, totalement déstressée et apte à appréhender ma journée de dédicaces à St Aunès, j’ai souri, présenté, dédicacé mes livres aux Montpelliérains venus surtout pour faire leurs courses au Leclerc, surpris de me voir, car je n’étais pas du tout annoncée. Qu’à cela ne tienne ! Je suis assez grande pour le faire moi-même. Immanquablement ils devaient passer devant l’Espace Culturel. Aussi soit ils s’arrêtaient pour bavarder en repartant un livre sous le bras, soit continuaient leur chemin en poussant leur chariot… Le tout dans une ambiance apaisée et agréable.

Et comme dans toute journée de dédicaces il y a l’instant magique et que je prends toujours plaisir à partager, il est venu de Clélia. Bien souvent il y a des personnes qui se tordent le cou pour nous ignorer et surtout éviter notre regard… des fois que… Là Clélia se tordait le cou pour accrocher mon regard. Sa maman visiblement pressée se dirigeait vers la sortie. Je me demandais bien pourquoi cette adolescente tirait sa mère par le bras en me désignant du menton. Je ne la connaissais pas, et ne crois pas l’avoir jamais rencontrée dans d’autres dédicaces. Clélia finit par avoir gain de cause et les voilà qui font demi-tour, re-rentrent dans la galerie en se dirigeant vers moi. La maman me dit en souriant « il se fait tard, déjà midi et demi, et nous avons faim mais ma fille veut absolument parler à l’auteur ». Clélia, du haut de ses douze ans, bientôt, précise-t-elle, d’une maturité très précoce, a des yeux magnifiques, un sourire d’ange et voulait tout savoir de l’écriture. La maman, aussi adorable, s’est laissée prendre au jeu, me disant que sa fille dévorait les livres et qu’en fin de compte elle appréciait notre rencontre, oubliant sa faim. Clélia a voulu « retourne de là où tu viens », sa maman « La clé de l’embrouille » et « Gracieuse et Panache sont amis » pour le petit frère. Dans un éclat de rire Clélia m’a dit « dédicacez à la famille R… tout le monde vous lira ». Une autre adolescente, pardon j’ai oublié son prénom, est allée chercher son papa au fin fond du magasin. Celui-ci m’a dit « ma fille veut lire votre histoire, je n’ai pas le choix… » d’un air très fier ! Isabelle, après bien des hésitations et deux A/R, n’a pas résisté et m’a fait dédicacer « La clé de l’embrouille » pour l’anniversaire de Miryam son amie d’enfance... Je me souviens aussi de Mamie Nanou qui a eu un coup de cœur pour « Retourne de là où tu viens » pour sa petite-fille Sarah et « Gustave » pour Zoé… est partie faire ses courses en vitesse et a récupéré les livres dédicacés au retour… Et ce jeune papa, un touriste attendant son épouse, s’est approché et m’a dit « mon fils lit au moins cinq livres par semaine, je n’achète plus rien, je l’ai inscrit à la bibliothèque mais là votre « Gustave » il le lui faut, il va adorer… Je vous ai entendu le présenter... Et il le feuilletait avec frénésie en pensant à la joie de son fils. Et il ajoute "surtout la princesse"... Il va sûrement lui donner des couleurs !

Dans ma tête me reviennent en mémoire les paroles des Compagnons de la Chanson « Je suis le vagabond, le marchand de bonheur... ».

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5 mai 2016 4 05 /05 /mai /2016 19:12
"Être maître de son temps..."

« L’homme doit être maître du temps, pas son esclave » de Golda Meir

Et si vous preniez le temps de venir me rejoindre, en ce week-end festif, à l’Espace Culturel du Centre Leclerc de Saint Aunès à quelques kilomètres de Montpellier ?

Je vous y attendrai le samedi 7 Mai de 9h30 à 18h. Je me ferai le plaisir de vous présenter mes romans. En ce joli mois de mai, la fête des mères n’est pas loin. Un livre dédicacé en coup de cœur prend toute sa place. Que vous aimiez les histoires vraies, les histoires de terroir, les histoires policières, les histoires « fable initiatique sur l’amitié » pour « premières lectures » illustrées par mes soins, il y aura toujours un livre qui vous « choisira » car il aura su vous séduire pour l’offrir ou vous l’offrir.

Garantie sensations fortes !

« Peu de lectures, simples mais fortes, qui laissent traces » de Jules Michelet

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1 mai 2016 7 01 /05 /mai /2016 07:10
La petite souris...

« Le doute est l’école de la vérité » de Francis Bacon

A tou(tes)s mes ami(e)s du Web :

Hier soir je me suis dit « demain j’aurais sûrement quelques messages d’amitiés pour mon anniversaire » comme la petite fille qui a perdu sa première dent et qui attend le lendemain pour voir ce que la petite souris lui aura apporté comme cadeau.

Ce matin ma journée a démarré en douceur, bonheur, gentillesse, sourires, des fleurs, des appels…

Alors c’est sûr je m’interroge. Je me demande pourquoi ? Pourquoi tant de personnes prennent un peu de leur temps pour me fêter ? Nous ne nous connaissons pas pour la plupart. Et c’est là que je me dis « finalement c’est magique cette manifestation de doux élans cordiaux et amicaux». Ça réchauffe le cœur dans une vie où rien n’est parfait. Où en ce jour heureux il y aura forcément des manques, des ratés. Il faudra composer avec et ça sera plus facile.

Si je doute parfois, la vérité est là dans cette belle chaîne d’amitié. Moi qui refuse les chaînes, qui n’aspire qu’à vivre en toute liberté, j’aime bien en ce jour où une année vient s’additionner immuablement aux nombreuses autres, me laisser prendre dans vos maillons.

J’avais commencé à répondre individuellement, puis j’ai eu envie de vous écrire.

Un chaleureux merci à vous toutes et tous.

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25 avril 2016 1 25 /04 /avril /2016 20:11
En vacances

« Ce que j’aime dans les voyages, c’est l’étonnement du retour » de Stendhal

Huit jours sans Internet, sans réseaux sociaux, sans téléphone ou presque, sans dédicaces, sans contraintes, sans ordinateur et donc sans écriture... Je suis partie. Mon passé dans le dos et mon avenir devant, tout simplement. Mon cerveau en mode pause et mon cœur éteignant doucettement les braises de mes dernières semaines de dédicace. Mon étonnement vient de l’absence du manque. Accro à cette frénésie de vie je pensais l’être, et pas du tout.

Après deux heures de vol, mes bagages posés et pas même défaits, j’ai rejoint une petite crique de sable fin doré, aux falaises échancrées et dentelées par les retours de l’Océan qui en cognant fort sur la roche ocre, creuse ça et là des mini grottes. Pliée en deux pour y entrer, j’écoute amusée la musique du vent qui grince des dents. Un ciel mitigé dans un ballet de nuages passant du gris perlé au noir sombre, quelques gouttes de pluie qui semblent batifoler sur une végétation exubérante, du soleil qui mord parce qu’on ne s’y attend pas et des oiseaux peu farouches récupérant mes miettes de croissant… Le Portugal où je m’offre une semaine de farniente loin de tout et hors de portée de tout. Qui s’en plaindra ? Personne ! Dans ce monde où tout va si vite, où un mot, un regard peuvent faire basculer une vie, qui s’en apercevra ? Personne ! Une fourmi s’est éloignée de la fourmilière dans l’anonymat le plus total. C’est très bien ainsi.

À mon retour rien n’a changé et tout est différent.

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12 avril 2016 2 12 /04 /avril /2016 11:33
Un W.E. en dédicace

Qui oserait dire que la vie d'auteure est de tout repos, que ce n'est pas du travail ? Écrire demande des mois, des jours parfois des nuits. Puis vient l'édition : la recherche d'imprimeur, relecture du BAT (bon à tirer) avec les corrections. Puis encore prendre les RDV pour la promotion. Puis et enfin aller dédicacer en traînant sa valise pleine de promesses. Et là c'est le bonheur assuré. Je viens de passer deux jours en dédicace.

Samedi à Montauroux. À l'Espace Cuturel, les téléviseurs sont présents à côté des livres, comme du reste la téléphonie et les DVD... La Culture passe aussi par là ! Le matin beaucoup de monde affolé, leurs téléviseurs sont sur écran noir. Plus de décodeur de TNT... Puis l'A.M. les lecteurs sont arrivés. Un grand coucou à Wendy, Séréna, Louna, Léa, Julie... Merci pour votre écoute, pour votre choix en coups de cœur de mes romans et surtout merci à vos parents qui sont à votre écoute. Et c'est Ionael-Marie qui m'a le plus émue. Sans hésiter il a choisi "retourne de là où tu viens"... Il n'a que onze ans je le guidais plutôt vers ma trilogie. Il savait ce qu'il voulait parce que lui aussi a été harcelé par un camarade à l'école. Merci à toi.

Dimanche salon du Castellet village médiéval. Pareil, matinée très calme. Un véritable plaisir de retrouver tous mes ami(e)s auteur(e)s, sur l'esplanade ensoleillé, puis la foule l'A.M.

Je suis sur les rotules mais réjouie. J'ai dédicacé ma "Gracieuse et Panache sont amis" à une petite fille de 9 ans, Emma. Son papa et sa maman sont vraiment désemparés devant son refus catégorique de lire. En la questionnant j’ai appris qu’elle n’aimait pas les livres choisis à lire par la maîtresse. Je lui ai alors montré les coloriages faits par une autre petite-fille sur "Gracieuse et Panache sont amis...". Grâce à mes peintures et au coloriage des illustrations laissées en noir et blanc pour que les enfants partagent mes couleurs, j’ai touché son point sensible : elle adore dessiner. Au-début elle boudait au bord des larmes, pour finir, elle est partie en me faisant une bise, une lumière dans les yeux et en me promettant de me téléphoner dès qu'elle aura fini de lire l'histoire et le coloriage. J'ai vu passer beaucoup de monde ces deux jours, mais cette dédicace-là c'est la plus belle. Mission accomplie !

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 16:02
Une dédicace... Un sourire !

Un très beau week-end en perspective.

Je serai en dédicace samedi 9/4/2016 de 9h à18h à l'Espace Culturel du Centre Leclerc de Montauroux.

et le dimanche 10/4 de 10h à 16h au Castellet – Place du Champ de Bataille.

Merci de venir partager ces moments de complicité.

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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 08:32

Hier je vous racontais les aventures d'une "nénette" pas très "fufute" qui voulait « Et HOP » jouer à la grande fille qui change toute seule sa puce de téléphone après changement d'opérateur. Qui a dit "le changement c'est maintenant" ? Pas moi !

Je croyais m'en être sortie... Pas du tout ! C'eût été trop "fastoche" ! Donc je rédige mon article, soulagée, puis je jette un œil aguicheur mais surtout vainqueur sur mon portable qui tout aussitôt me nargue en affichant, stoïque, "réseau indisponible"... Douche froide ! Re-appel à SOS Bouygues, re-discussions d'un service à l'autre avec des opérateurs qui comprenaient à peine ce que je leur disais, qui me faisaient répéter ce que je venais de leur expliquer quelques secondes auparavant. Les pauvres, de l’autre côté de la Méditerranée, avaient à faire à une nénette qui commençait à friser l’hystérie. « Je tourne en rond… Je tourne en rond » !

Mon salut est arrivé d’un coup de fil… Ouf le fiston depuis ses vacances. Télépathie ? À mon « allo », pas besoin de discours, il a tout de suite compris que ça n’allait pas. « Que se passa Mama » ? Ben la mama n’a pas le temps de tout expliquer que mon Zorro me dit tout calmement « après un changement de puce, il faut toujours réactiver ton téléphone. Donc éteins et rallume ton portable ». « Il suffisait de presque rien »… À bon entendeur salut !

Ce matin, à tête reposée, je nous revoyais lorsque petit je t’aidais pour tes leçons et aujourd’hui je me demande « que ferais-je sans toi, mon Zorro » ?

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